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la vie des animaux

la vie des animaux
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25 septembre 2006

les sens du chien

Le cerveau du chien est d'assez petite taille, puisqu'il ne pèse, en moyenne, que 15% de celui d'un humain. En revanche il possède des sens très développés

  • Le sens de l'odorat, 35 fois plus développé chez le chien que chez l'homme. Sa membrane olfactive mesure 130cm² (contre 3cm² chez l'homme).
  • L'ouïe est aussi un sens très précis: le chien est capable d'entendre des sons inaudibles pour l'homme (ultrasons). De plus, les oreilles du chien peuvent s'orienter vers une source sonore en pivotant grâce à de nombreux muscles. Enfin, il peut dissocier des sons et donc n'entendre que les "sons intéressants".
  • La vision du chien est meilleure de nuit, car, même s'il distingue mal les couleurs (rouge et vert entre autres) et les détails, il possède une surface réfléchissante derrière la rétine (le Tapetum Lucidum), qui renvoie la lumière et donne un effet d'yeux brillants dans l'obscurité.

Le champ de vision du chien est d'environ 250 degrés.

  • Le toucher est en revanche peu perfectionné chez le chien. Ce dernier fera la différence entre une caresse et une correction, la chaleur et le froid, mais de façon limitée.
  • De même, le goût est peu développé puisque son rôle, relativement limité, est comblé par un odorat fin.
  • Certains chercheurs attribuent aux chiens des sens supplémentaires. Par exemple son sens de l'orientation serait beaucoup précis que celui de l'homme. De même, son sens de l'équilibre serait légèrement plus aiguisé
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25 septembre 2006

histoire du chien

Début de la domestication entre 16000 et 15 000 avant J.-C. dans des groupes de chasseurs. En comparaison le cheval sera domestiqué par des groupe nomades entre 4000 et 3000 avant J.-C. Pour plus d'information sur sa domestication, veuillez consulter l'article approfondi, Domestication du chien

Le chien aurait été simplement apprivoisé parmi d'autres animaux, tels les chacals, les rongeurs. Mais c'est le seul maintenu en dépendance, car il aurait montré plus d'aptitudes à une socialisation primitive. Le chien a pour ancêtre le loup mais des expériences en cours depuis une cinquantaine d’années avec des croisement sélectifs de renards semblent donner des résultats similaires à ceux observés chez le chien (comportement particulièrement social, pédomorphisme, tempérament enfantin…).

Le chien primitif serait un chien de chasse qui aidait l'homme.

  • Dans l'Antiquité, les chiens servaient aux combats, à la production de viande et étaient aussi supports de croyances et de rites de type religieux.
  • Plus tard, sous l'Empire romain, ils étaient des animaux de compagnie, des gardiens de troupeaux, et utilisés pour la chasse.

Un chien au début du XVIe siècle.

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Un chien au début du XVIe siècle.

  • Au Moyen Âge, dans les campagnes et les milieux populaires, les chiens suscitent des peurs collectives et font l'objet d'exterminations quotidiennes. Pour la noblesse, par contre, ce fut l'âge d'or de la vénerie.
  • À la Renaissance, la passion des hommes pour la chasse parvint à conserver une place aux chiens dans la société. La noblesse considérait le chien comme un signe de puissance et de grandeur. Ceci permit le développement de races de chiens de compagnie.
  • Au XIXe siècle, une expansion numérique du chien s'est opérée. Il est devenu un animal commun.
  • Vers 1850, les races de chiens se multiplient et se diversifient. C'est l'apparition de la cynophilie.
25 septembre 2006

les sens du chat

Prédateur crépusculaire (coucher et lever du soleil) à l'origine, le chat possède des sens très développés. Il perçoit son univers différemment des humains, et on lui a même prêté des pouvoirs surnaturels. Il existe ainsi de nombreuses légendes de chats ayant prédit des tremblements de terre ou autres catastrophes. L'explication la plus probable est que son oreille est apte à percevoir des vibrations inaudibles pour les humains.

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L'ouïe

Son ouïe est particulièrement sensible dans les hautes fréquences : il perçoit des ultrasons jusqu'à 30 000 Hz alors que l'oreille humaine est limitée à 20 000 Hz. Son pavillon en cornet peut être orienté grâce à vingt-sept muscles, ce qui lui permet de pivoter chaque oreille indépendamment pour localiser avec précision la source d'un bruit et sa distance.

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La vue

Gros plan sur l'œil d'un chat

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Gros plan sur l'œil d'un chat

Image:Néo.jpg

Yeux brillants d'un chat, la nuit

La vue est son sens primordial. Son champ de vision est également plus étendu que celui des humains : 187° contre 125°, ce qui reste cependant loin du record absolu du monde animal. L'intensité lumineuse influence la forme de la pupille : allongée en fente étroite en pleine lumière, elle se dilate en un cercle parfait à la pénombre. Contrairement à une idée répandue, il est incapable de voir dans le noir complet. Il est toutefois beaucoup plus performant que nous dans la pénombre. La nuit, l'aspect brillant des yeux est dû à une couche de cellules de la rétine, appelée tapetum lucidum, qui agit comme un miroir et renvoie la lumière perçue, ce qui la fait passer une seconde fois dans la rétine et multiplie ainsi par deux son acuité visuelle dans l'obscurité.

En revanche, le chat ne perçoit pas les couleurs ni même les mouvements de la même façon que nous : il semblerait (cela est encore discuté) qu'il ne perçoive pas la couleur rouge et que, d'une manière générale, il distingue très mal les détails. Sa vision est granuleuse sur les images fixes alors qu'un objet en mouvement lui apparaît plus nettement (par exemple une proie en mouvement).

Une particularité de l'œil du chat est qu'outre les paupières inférieure et supérieure, il est protégé par une troisième paupière, la membrane nictitante. Celle-ci se ferme à partir du bord inférieur du coin interne de l'œil vers l'extérieur. Quand elle ne se referme pas complètement, c'est souvent le signe d'un problème de santé chez le chat (troubles digestifs, parasitisme le plus souvent ou entérite).

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L'odorat

Son odorat est quarante fois plus performant que celui de l'humain et a une grande importance dans la vie sociale du félin pour délimiter son territoire. Par ailleurs, c'est son odorat développé qui lui permet de détecter la nourriture avariée et empoisonnée. Il possède vingt millions de terminaux olfactifs, contre cinq millions chez les humains.

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Le goût

Le sens du goût est développé chez le chat, moins que chez l'humain cependant : chez le chat, on compte près de 2 000 bourgeons gustatifs alors que l'homme en possède 9 000, soit 4,5 fois plus. Contrairement au chien, le sens gustatif du chat est localisé à l'extrémité de la langue, ce qui lui permet de goûter sans avaler. Il est sensible à l'amer, à l'acide et au salé, mais non au sucré.

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Le toucher

Son sens du toucher est également bien développé. Ses vibrisses (« moustaches ») lui indiquent la proximité d'obstacles, même dans l'obscurité totale, en lui permettant de détecter les variations de pression de l'air. Celles-ci lui permettent aussi de mesurer la largeur d'un passage. Les coussinets garnissant ses pattes sont très sensibles aux vibrations et sa peau est constellée de cellules tactiles extrêmement sensibles.

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Autres sens

L'organe de Jacobson est un véritable sixième sens. Comme le chien ou le cheval, le chat est capable de goûter les odeurs à l'aide de son organe voméro-nasal. Il retrousse ses babines pour permettre aux odeurs de remonter par deux petits conduits situés derrière les incisives jusqu'à deux sacs remplis de fluide dans les cavités nasales chargées de concentrer les odeurs.

Son organe vestibulaire est également particulièrement développé, lui conférant un sens de l'équilibre remarquable. Ceci explique l'étonnante faculté qu'ont les chats de se retourner rapidement pour retomber sur leurs pattes lors d'une chute.

Il peut également sauter à une hauteur cinq fois supérieure à sa taille.

Dans la course, sa vitesse moyenne est de 40 km/h et il met 9 secondes pour faire 100 m, mais il n'est pas un coureur de fond et il se fatigue assez vite.

25 septembre 2006

comportement du chat

Le miaulement est le cri du chat. En général, le chat est d'un tempérament plutôt discret. Par contre, il peut miauler pendant des heures lorsqu'il cherche à se faire remarquer, que ce soit pour réclamer sa nourriture, ou pour demander qu'on lui ouvre une porte, par exemple. Certains chats, notamment les siamois, sont plus « bavards » que d'autres.

  • Miaulement saccadé

Plus rare, le chat émet un miaulement saccadé d'intensité faible lorsqu'il voit une proie hors de portée comme un oiseau ou un insecte volant. Et parfois même en regardant une émission animalière à la télévision, par exemple.

  • Ronronnement

Dès le début de sa vie, le chaton en tétant ronronne, et sa mère lui répond. Ces vibrations sonores de tout le corps chez la plupart des félins (et aussi chez d'autres animaux) dont le mécanisme et l'utilité sont encore mal expliqués se manifestent lorsque l'animal est en état de plaisir mais aussi en souffrance. Il s'agit d'un mouvement coordonné mettant en jeu la glotte, le larynx, et certains muscles. Stressé, blessé et même en mourant, le chat peut ronronner. Cet état, comme le sommeil, pourrait être réparateur pour l'organisme du chat.

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Sommeil

Le chat dort en moyenne 15 à 18 heures par jour. Il reste ainsi éveillé environ 6 à 9 heures, dont une partie la nuit pour chasser. On l'utilise fréquemment dans le cadre d'expérimentations sur les cycles du sommeil. D'après des études, le chat est l'animal ayant la plus grande proportion de phases de sommeil paradoxal pendant lesquelles il rêve. Durant ces phases, l'activité électrique du cerveau, des yeux et des muscles est très importante.[1]

25 septembre 2006

histoire du chat

Jusqu'en 2001, on pensait que les chats avaient été domestiqués par les Égyptiens pendant l'Antiquité, mais la découverte des restes d'un chat aux côtés de ceux d'un humain dans une sépulture à Chypre repousse le début de cette relation au VIIe millénaire av. J.-C. (-7 000). La cohabitation des chats et des hommes est probablement arrivée avec le début de l'agriculture : le stockage du grain a attiré les souris et les rats, qui ont attiré les chats, leurs prédateurs naturels.

Les Égyptiens de l'Antiquité divinisèrent le chat sous les traits de la déesse protectrice Bastet. On a également retrouvé de très nombreuses momies de chats qui montrent à quel point les Égyptiens les vénéraient. Toutefois, ils pratiquaient également des sacrifices rituels. Voir : le chat dans l'Égypte antique.

Une mosaïque de Pompéi

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Une mosaïque de Pompéi

Par contre, la Grèce antique ne connaît longtemps que les mustélidés, furet et belette. Plus tard, le chat sera importé d'Égypte et s'arrogera une place auprès des grecs, d'abord sous le nom de ailouros («qui remue la queue»), puis à partir du IIe siècle avant notre ère, katoikidios («domestique»).

Les Romains, en revanche, vouaient une passion au chat : d'abord réservé aux classes aisées, l'usage de posséder un chat se répandit dans tout l'Empire et dans toutes les couches de la population, assurant la dispersion de l'animal dans toute l'Europe. Par contre, il fut satanisé en Europe durant une partie du Moyen Âge, et ne connut de retour en grâce qu'à la faveur du romantisme (le chat est l'animal romantique par excellence, mystérieux et indépendant).

En Égypte ancienne, le chat représentait la déesse Bastet. Il était donc craint et déifié.

La déesse nordique Freyja dans son char tiré par ses chats, Nils Blommér 1852.

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La déesse nordique Freyja dans son char tiré par ses chats, Nils Blommér 1852.

Dans la symbolique occidentale, le chat est associé à la malchance et au mal, d'autant plus quand il est noir, à la sournoiserie et à la féminité. C'est l'animal du diable et des sorcières. On lui attribue aussi neuf vies. Une première tentative de réhabilitation fut la célèbre Histoire des Chats : dissertation sur la prééminence des chats dans la société, sur les autres animaux d'Égypte, sur les distinctions et privilèges dont ils ont joui personnellement (1727) de François-Augustin de Paradis de Moncrif. L'auteur y prend la défense du chat à travers des références historiques, notamment à l'ancienne Égypte, qui se veulent érudites et constituent en réalité un pastiche de la pédanterie. Un certain nombre de lecteurs et de critiques ne discernèrent pas l'intention satirique et l'ouvrage, obscur et maniéré, fut très violemment attaqué.

L'origine de cette symbolique réside dans le fait que cet animal est un prédateur crépusculaire d'une félinité souple, qui peut être surprenante de vivacité.

À partir du XIXe siècle, le chat s'est retrouvé symbole du mouvement anarchiste, à travers son image poétique, indépendante et gracieuse.

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25 septembre 2006

Il y a trop d'animaux malheureux parce que non

Il y a trop d'animaux malheureux parce que non désirés ! La solution : stériliser !
La SPA ne cesse de lancer ce cri d'alarme dans les médias, par le biais de ses délégués, bénévoles et sympathisants.
La stérilisation n'est pas une mutilation et n'est pas contre-nature, elle présente même bien des avantages pour la santé de l'animal.
Pour soulager cette misère animale, nous avons également créé des structures spécifiques où les personnes ayant peu de moyens financiers peuvent faire stériliser et tatouer leur compagnon(s) à moindre frais : les dispensaires .
Nous n'avons pas oublié ceux qui n'ont pas la chance d'avoir un maître, les laissés-pour-compte de la reproduction incontrôlée : les "chats des rues".
A Paris, la SPA a ouvert jusqu'en 1996 le centre de stérilisation Jacqueline Thome-Patenôtre qui a permis aux protecteurs (associations ou personnes privées) de faire stériliser, tatouer et vacciner gratuitement les chats se trouvant sous leur responsabilité. Le centre participait activement à stabiliser la population des chats errants qui se développe dans les jardins, cimetières, hôpitaux, parkings...
Serge Belais, vétérinaire et président de la SPA est formel : "Il n'y a pas trente solutions pour éviter la surpopulation. Une chatte a entre quatre et six petits tous les deux ou trois mois jusqu'à l'âge de dix ou douze ans ; lesquels petits se reproduisent à leur tour au bout d'un an : c'est l'explosion ! Seule solution : la stérilisation".

Les gens qui habitent à proximité d'un terrain où vivent de nombreux chats ne supportent pas toujours d'entendre leurs cris et leurs bagarres quand ils sont en chaleur, ce qui arrive plusieurs fois par an, bien souvent les chats en pâtissent gravement : empoisonnements, opérations de captures... Les chats stérilisés sont plus discrets, plus tranquilles, la stérilisation est aussi un moyen de faire mieux tolérer l'animal dans la ville.
Depuis la loi du 6 janvier 1999 , les maires peuvent désormais prendre en charge la stérilisation et l'identification des chats libres en collaboration avec une association de protection animale. les chats pourront être identifiés au nom de la commune ou au nom de l'association.

Les dispensaires de la SPA : un rôle social
En 1980, la crise économique s'amplifie et devient une nouvelle cause d'abandons. Des chômeurs, des personnes âgées, des étudiants viennent confier à contrecœur leur compagnon à un refuge : ils n'ont plus les moyens d'en assumer la charge financière, notamment les frais vétérinaires. La SPA entreprend alors de créer des dispensaires sociaux destinés aux personnes démunies de ressources. En 1982, nous prenons sous tutelle le dispensaire de Paris, qui était sur le point de fermer par manque de moyens. Certaines de nos filiales ouvrent ensuite des dispensaires qui sont aujourd'hui au nombre de 12.
Des milliers de chien(ne)s et de chat(te)s y sont stérilisés chaque année, limitant leur prolifération qui est la principale cause des abandons.

Punir les mauvais traitements et les actes de cruauté

Systématiquement, la SPA se constitue partie civile auprès des tribunaux pour toute affaire relevant d'un acte de cruauté ou de mauvais traitement envers un animal. Nous conseillons les particuliers dans leurs démarches et un de nos avocats est présent le jour de l'audience.
La SPA porte plainte contre toute personne physique ou morale s'étant rendue coupable d'actes répréhensibles envers un animal.
Notre présence devant les tribunaux permet de réaffirmer les droits essentiels des animaux et d'obtenir des sanctions pour leurs tortionnaires. Parmi nos dossiers traités sur l'année1997 :
- Dépôt de plainte pour l'abattage illégal d'un loup dans les Alpes.
- Constitution de partie civile dans l'affaire d'un vaste trafic de tortues à Tahiti.
- Recours contentieux contre un arrêté municipal interdisant l'accès des promeneurs à certains cols des Pyrennées en période de chasse.
- Enquête sur les réseaux de zoophilie visant à l'ouverture d'une information judiciaire

25 septembre 2006

L'Union Européenne reconnaît l'animal comme un

L'Union Européenne reconnaît l'animal comme un être sensible

L'animal a enfin été reconnu comme un être sensible par les pays membres de l'Union Européenne. Un protocole a été adopté lors de la Conférence intergouvernementale pour la révision du traité de l'UE en juin 1997. Auparavant, les animaux étant considérés comme des produits ou des marchandises agricoles, la protection animale était envisagée selon les standards les plus bas lors de la mise en œuvre des législations européennes. Le protocole annexé au traité stipule que les Etats membres veillent, lorsqu'ils formulent et mettent en œuvre la politique communautaire dans les domaines de l'agriculture, des transports, du marché intérieur et de la recherche, à ce qu'il soit pleinement tenu compte des exigences du bien-être des animaux. Ceci constitue indéniablement un pas en avant en matière de protection animale, même si " les usages en matière de rites religieux et de tradition culturelle " de chaque Etat membre échapperont à cette nouvelle exigence. Comme de nombreuses associations européennes, la SPA avait sollicité à plusieurs reprises les représentants du Gouvernement pour les inciter à se positionner en faveur de ce protocole.

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